VA, GLAND BLAME !

Glisse au vaisseau tranchant son grand miroir glacé
Moucheté de poussières, ondines au mystère,
Brillant sur le rivage, un soleil sec et pâle,
Acerbe, éblouit d’un reflet estival,
Traversé la canopée au couchant moine, au voile
Nappé, noirceurs des ombres, peuple des profondeurs,
La nuit de pleine lune, réclame avec candeur,
Aux grenouilles qui coassent, aux souvenirs déçus.
Douce réminiscence des émotions perdues,
Au doux matin s’énchante, le mmonde réapparut,
Et le lac qui renaît et la brive qui reprend.
Les longs chants serinnés s’envolent vers les nues,
Voyageur entêté poursuit sa besogne. Nu.

Ode à la cabane Belle Ile
Ode à la cabane Belle Ile
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